Après plusieurs mois de demandes de la part d’Action Gatineau auprès de l’administration sortante, Maxime Pedneaud-Jobin se dit soulagé de la publication intégrale du rapport sur la gestion municipale à Gatineau par le quotidien Le Droit. Selon lui, il s’agit d’un rapport important sur la gestion de la ville et il contient des informations cruciales pour la population sur le coût de l’indécision du maire actuel et de son administration. « Dans le contexte où ils doivent faire un choix le 3 novembre prochain, les contribuables gatinois ont le droit de savoir que ça leur coûte 15 millions $ le fait d’avoir une administration municipale sans vision claire. Les citoyens et citoyennes de Gatineau méritent une gestion plus rigoureuse de leurs taxes municipales », a déclaré Maxime Pedneaud-Jobin
Seule une équipe unie par une vision claire peut changer les choses
Selon le candidat à la mairie, Action Gatineau apporte une solution concrète à ce problème en voulant mettre en place un vrai gouvernement municipal, c’est-à-dire une équipe unie par un programme commun. Ce faisant, le conseil cesserait de changer d’idée constamment et mettrait fin au gaspillage des fonds publics. « La création d’Action Gatineau est une réponse directe à ce manque de rigueur. Avec une équipe qui partage une même vision à la tête de la ville de Gatineau, Gatineau avancera plus vite, plus clairement, avec plus de rigueur », a affirmé Maxime Pedneaud-Jobin.
M. Pedneaud-Jobin soutient qu’en donnant des orientations stratégiques claires à l’administration municipale, et en s’assurant que chaque service travaille en fonction des orientations du gouvernement élu, tous les employés cesseront de perdre leur temps. Avec un vrai gouvernement municipal, les objectifs à atteindre seraient clairs. « Il ne faut pas blâmer les employés du terrain pour les problèmes d’efficacité. Le problème se situe « à la tête de la ville » avec un conseil municipal qui a de la difficulté à donner une direction claire à ses travailleurs. C’est ce que l’élection d’Action Gatineau va changer », a conclu Maxime Pedneaud-Jobin.
