Gatineau, 9 octobre 2025 – Maude Marquis-Bissonnette veut miser sur plusieurs solutions pour améliorer la mobilité, à commencer par la création d’un comité dont le mandat sera de fournir un portrait factuel des besoins et d’identifier les priorités. Pour cette annonce, la mairesse et cheffe d’Action Gatineau était accompagnée de la candidate du district de Bellevue, Alicia Lacasse-Brunet, de la candidate du district du Plateau, Bettyna Bélizaire et du candidat du district de Rivière-Blanche, Frédéric Morin-Paquette.
La priorité d’Action Gatineau est de trouver des solutions à la congestion qui sont basées sur des faits et adaptées aux besoins de chaque secteur, et de le faire dans la collaboration avec les partenaires. Le futur comité sera donc composé des équipes de la Société de transport de l’Outaouais, du ministère des Transports et du Développement durable, et dirigé par la Ville de Gatineau. Son travail sera de faciliter la communication et la coordination pour trouver des solutions à court, moyen et long terme (par exemple : revoir la synchronisation de certains feux identifiés comme problématiques sur le terrain).
Action Gatineau propose aussi des solutions pour améliorer directement le transport en commun : le prolongement du Rapibus dans l’est jusqu’au boulevard de l’Aéroport, le paiement par carte ou par téléphone et l’augmentation de l’offre de transport à la demande.
Dans un deuxième mandat, le réseau de transport actif serait aussi bonifié par un service de vélos en libre-service, comme on en voit à Montréal, Québec et Sherbrooke. C’est un moyen qui a fait ses preuves pour réduire la congestion routière en donnant aux gens une alternative de plus à la voiture.
D’autres mesures déjà mises en place par les élus d’Action Gatineau pour favoriser la mobilité durable et sécuritaire seraient concrétisées et déployées, comme la réduction des délais pour le déneigement des trottoirs et la réduction des seuils de vitesse pour l’installation de mesures de modération de la vitesse.
« S’attaquer à la congestion, c’est pas seulement une question de circulation. C’est une question de donner des alternatives aux gens pour se déplacer. En transport en commun, c’est l’offre qui détermine la demande. Et pour arriver à nos objectifs, on s’appuie sur des données fiables, sur des partenaires engagés et sur une volonté politique claire : celle de livrer des résultats », a déclaré Mme Marquis-Bissonnette.