Réagissant au blâme de la FPJQ contre le maire sortant sur les mesures punitives à l’égard de Radio-Canada, le candidat à la mairie Maxime Pedneaud-Jobin estime qu’il s’agit d’une preuve de plus que la « transparence » de M. Bureau est un mythe. « M. Bureau est un maire de la vieille école qui voit les journalistes comme des adversaires, alors qu’ils ont comme rôle important pour informer la population sur les enjeux qui les touchent. Est-il vraiment nécessaire de répéter que leur rôle est essentiel en période électorale ? », a affirmé Maxime Pedneaud-Jobin.
Si on veut que Gatineau ait une voix forte, il faut un maire qui accepte de communiquer, et ce, autant en acceptant de participer à des débats entre les candidats, qu’en respectant le travail des journalistes. C’est la deuxième fois que M. Bureau est blâmé par la FPJQ pour une attitude pareille. « On aimerait que Gatineau fasse parler d’elle au Québec pour des raisons positives, par exemple si notre maire se tenait debout pour revendiquer plus d’argent pour les infrastructures ou pour dénoncer le sous-investissement en santé et en éducation », a conclu Maxime Pedneaud-Jobin.