La candidate à la mairie d’Action Gatineau, Maude Marquis-Bissonnette et la candidate dans le district de Carrefour-de-l’Hôpital, Catherine Craig-St-Louis, ont présenté leurs engagements concernant la problématique de vitesse dans les rues. Dans tous les secteurs, c’est un sujet qui revient très souvent en porte-à-porte.
« Tout le monde est préoccupé par cet enjeu: c’est une question de sécurité pour nos enfants qui marchent ou se rendent à vélo jusqu’à l’école, mais aussi pour nos aînés qui demandent des aménagements plus sécuritaires, » a souligné Mme Marquis-Bissonnette.
Mmes Marquis-Bissonnette et Craig-St-Louis proposent deux mesures pour ralentir les automobilistes et assurer les déplacements sécuritaires des usagers vulnérables :
- Installer plus de mesures de modération de la vitesse dans les rues de Gatineau
- Faire des aménagements transitoires
« En porte-à-porte, on m’en parle presque à chaque fois, les résident.te.s veulent se déplacer à pied, à vélo ou en autobus, mais pour ça il faut sécuriser les liens de transport actif. Par exemple, en attendant l’urbanisation de la portion nord du boulevard Gréber, on pourrait rapidement agir pour sécuriser les déplacements en protégeant avec une bordure de béton et des bollards, » a proposé Mme Craig-St-Louis.
Crise en dans le domaine de la santé : Gatineau doit prendre la place qu’il lui revient
Au-delà de la sécurité routière, la santé des citoyen.ne.s de Gatineau est une priorité. Mme Marquis-Bissonnette a dénoncé la situation critique du réseau de santé en Outaouais, qui nécessite une attention urgente. « Mon rôle en tant que mairesse sera d’être la porte-voix de tous les citoyens de Gatineau, d’exiger des réponses et des actions concrètes des décideurs politiques » a-t-elle promis. Maude Marquis-Bissonnette s’engage à défendre les intérêts de Gatineau à tous les niveaux de gouvernement, en travaillant pour des solutions qui répondent aux besoins de la communauté.
D’ailleurs, la cheffe d’Action Gatineau travaillera avec les acteurs du milieu pour la mise en place d’un « Comité de crise » en Outaouais afin de permettre aux gens du réseau d’ici de parler aux décideurs. « On règlera pas le problème du jour au lendemain, mais ça prend rapidement des solutions pour endiguer le départ des professionnels de la santé – des solutions à court, moyen et long terme. » a-t-elle ajouté.